Le Burundi s'est joint aux 116 pays membres de l'IPCI pour évaluer les actions menées par le CIPD après vingt ans d'existence et établir un plan d'action pour la mise en œuvre de son programme au-delà de 2014. Le Burundi était représenté par Hon. Norbert Ndihokubwayo et Hon. Denise Sindokotse.
La Déclaration d'Engagement de Stockholm, qui a été unanimement approuvée par tous les parlementaires présents à IPCI 2014, constitue l'appel le plus important pour l'application du Programme d'Action du Caire (voir l'intégralité du texte en annexe).
Les parlementaires se sont engagés à mobiliser leurs circonscriptions et leurs gouvernements afin de garantir que les principes du Caire soient complètement intégrés au programme pour le développement mondial au-delà de 2015 et que les droits humains, l'égalité des sexes, les femmes et la jeunesse en soient au cœur.
La Déclaration d'Engagement de 2014:
• Souligne les interactions essentielles entre la population d'un pays et sa capacité à réaliser un développement économique durable.
• Demande l'intégration des dynamiques de population dans tout programme de développement au niveau national et infranational.
• Souligne la nécessité de "soutenir des politiques en faveur de la scolarisation des filles, y compris des filles mariées ou enceintes, et ce à tous les niveaux d'éducation et sans discrimination"
• S'engage à "concevoir des politiques et programmes qui soutiennent le dividende démographique à travers le renforcement des capacités des jeunes à contribuer au développement social et économique et à l'innovation".
Au-delà de la Déclaration d'Engagement, une Déclaration sur les Droits Humains a été adoptée par acclamation des participants. Dans ces documents, les parlementaires "appellent tous les États à garantir l'égalité devant la loi et la non-discrimination pour toutes les personnes, en adoptant des lois et des politiques visant à protéger les droits de l'homme de tous les individus, sans aucune distinction".
Les parlementaires se sont engagés à mobiliser leurs circonscriptions et leurs gouvernements afin de garantir que les principes du Caire soient complètement intégrés au programme pour le développement mondial au-delà de 2015 et que les droits humains, l'égalité des sexes, les femmes et la jeunesse en soient au cœur.
La Déclaration d'Engagement de 2014:
• Souligne les interactions essentielles entre la population d'un pays et sa capacité à réaliser un développement économique durable.
• Demande l'intégration des dynamiques de population dans tout programme de développement au niveau national et infranational.
• Souligne la nécessité de "soutenir des politiques en faveur de la scolarisation des filles, y compris des filles mariées ou enceintes, et ce à tous les niveaux d'éducation et sans discrimination"
• S'engage à "concevoir des politiques et programmes qui soutiennent le dividende démographique à travers le renforcement des capacités des jeunes à contribuer au développement social et économique et à l'innovation".
Au-delà de la Déclaration d'Engagement, une Déclaration sur les Droits Humains a été adoptée par acclamation des participants. Dans ces documents, les parlementaires "appellent tous les États à garantir l'égalité devant la loi et la non-discrimination pour toutes les personnes, en adoptant des lois et des politiques visant à protéger les droits de l'homme de tous les individus, sans aucune distinction".
A l'issu de cette mission les délégués du Burundi recommandent :
A l'Assemblée Nationale et auà l'UNFPA, l'organisation d'un atelier de restitution à l' endroit d'autres Parlementaires qui pourront être ciblés et de là ; relancer le réseau parlementaire sur la population en y intégrant le volet « Santé de la Reproduction ». La délégation souhaite également pouvoir participer à toutes les conférences de la CIPD auxquelles elle serait invitée afin de pérenniser les acquis de ces conférences ainsi qu'assurer le suivi de la mise en pratique des différentes déclarations signées ; cela lui permettrait d'être à jour comme les autres parlementaires des autres régions.
A l'Assemblée Nationale et auà l'UNFPA, l'organisation d'un atelier de restitution à l' endroit d'autres Parlementaires qui pourront être ciblés et de là ; relancer le réseau parlementaire sur la population en y intégrant le volet « Santé de la Reproduction ». La délégation souhaite également pouvoir participer à toutes les conférences de la CIPD auxquelles elle serait invitée afin de pérenniser les acquis de ces conférences ainsi qu'assurer le suivi de la mise en pratique des différentes déclarations signées ; cela lui permettrait d'être à jour comme les autres parlementaires des autres régions.